Forum Le dimanche 15 mai de l'an de grâce 2011...

A ceussent qui veulent faire parti du club, prière de respecter la charte graphique de MA signature dans votre prope signature. On est des pros ou on n'en est pas !:|

Mimix exécution ! et toutes les autres aussi ! Non mais...

mimix a écrit:

Moi aussi je peux adhérer au club des momo flingeurs? 

Bienvenue au club des

--- Momo flingueurs  et Flingueuses---

Non mais ! C'est tout de même pas ceusses qui postent ici qui lisent 10 fois par jour nos derniers messages ! 

J'aimerais bien connaître ces lecteurs. S'ils ne veulent pas se manifester en public, ils le peuvent en messages privés ! 

rahabmuriel a écrit:

andy,

grâce à vous mon déshydrateur va enfin ressortir du placard!

je regrettais cet achat vu que je n'ai pas su utiliser cet appareil au mieux de ses capacités mais avec la chataigne il va enfin revenir sur la table alors ma bouche de gourmande et mon deshydrateur on vous dit tous les 2 merci ( le premier essai sera de refaire le gateau à la farine de chgataigne et au miel de mon midi pyrenées natal!)

Pourrais-tu nous donner la recette stp.

Et j'annonce que vous avez le droit, ceussent qui écrivent sur ce fil d'employer dans votre signature l'appelletion "Les Momos flingueurs" ou la Momo flingueuse !

moune1953 a écrit:

Quelles saga ces yahourts....

Jeteste la recette dimanche et je vous livre le résultat lundi...

Bienvenue chez nous les "momos flingueurs" - (C) Copyright 2011 - de boustifaille approximative !

On attend vos résultats avec impatience.

Marie-Loup a écrit:

je suis d'accord avec toi Andyw, c'est pour cela que de plus en plus les valeurs caloriques et autres sont données pour 100 g. Il faut demander à Thermomix de faire pareil, ce serait plus simple pour nous.

 

Quand le plat est donné pour 5 tu peux toujours le peser s'il fait 1 kilo tu divises par 5 soit 250g  par personne. Si la portion fait 300 calories il ne te reste plus qu'à faire la division pour savoir la valeur de 100g

 

C'est bien ce que je pense. Il suffit pas d'utiliser thermomix et faire d'excellentes recettes mais il faut, à mon sens, qu'on apprenne à contrôler la valeur nutritionnelle de nos réalisations culinaires. Faire tous des recherches dans notre coin pour alléger en sucres et matières grasses. J'ai déjà fait ça pour les confitures et les yaourts. Il faut aussi penser aux gâteaux et autres brioches !:p

Marie-Loup a écrit:

par personne, c'est à dire que si le plat est donné pour 5 personnes la valeur de la portion est le tout divisé par 5

Et si je n'ai pas le nombre de personnes ? Et puis ce nombre peut varier. Il faudrait rajouter la seule donnée sûre : la valeur nutritionnelle pour 100 g de matière et ça je suis pas prêt de trouver !:(

Dans notre bible à tous " A table avec Thermomix", on parle de "Valeur nutritionnelle par portion". C'est quoi une portion ?:~

Ah les châtaignes ! Implantées en Ardèche depuis plus de 8 millions d’années. elles ont été la base de l’alimentation des hommes et des cochons pendant des siècles. L’apogée, l’âge d’or est la fin du 19e siècle. En 1860 on produit 40 000 tonnes dans cette région. Puis déclin rapide en raison de la maladie dite de l’encre et de l’abattage accéléré des châtaigniers pour nourrir l’industrie des tanins. Un million d’arbres furent abattus. Une vraie tuerie au sens propre ! :((

C’est un fruit relativement riche en calories avec 180 kcal pour 100 g de châtaignes crues. Avec 6 g de fibres, elles facilitent le transit intestinal.

Assez pauvre en lipides, riche en amidon, c’est une source intéressante de manganèse, de cuivre, de phosphore et de fer et de vitamines diverses dont la vitamine C.

La châtaigne et le marron c’est la même chose. Sauf que le marron est plus gros et occupe à lui seul la bogue épineuse qui encapsule en général plusieurs châtaignes. Bref, disons qu’un marron c’est une grosse châtaigne. Ne cueillez jamais les marrons d’inde d’arbres qui ne sont pas des châtaigniers et qu’on appelle marronniers à la sortie de l’école de vos enfants. Ils sont toxiques ! Pas vos enfants, les beaux et énormes marrons à la vive couleur de chaussures cirées !

Jusqu’au début du 20e siècle, elles étaient conservées dans le clédier, ou encore la clède.

La clède est un séchoir à châtaignes, construction annexe mais séparée de l’habitation principale, sur deux niveaux. A l’étage on dispose les châtaignes sur des claies ; au rez-de-chaussée, sur le sol de terre battue, on allume un feu de bois vert dont la fumée s’échappe à travers les tuiles du toit. Ce feu, sans flamme, était entretenu durant deux à trois semaines. Pendant ce temps, les châtaignes au-dessus étaient régulièrement brassées sur leur épaisseur de 20 cm. La douce chaleur desséchait les fruits et la fumée les désinfectait. Cette méthode est encore pratiquée en Lozère, en Ardèche et en Corse.

Comme l’a dit joliment Jolynoise : « C’est une galère pour les « déshabiller » !

La « robe » passe encore, mais le jupon c’est mission presque impossible.  Bref quand j’essaie d’enlever les derniers dessous, il faut bien dire que ça finit souvent mal. Soit il reste des lambeaux du jupon et ça donne pas bon goût. Soit j’enlève tout et je brise sa timide nudité en petits morceaux éparpillés façon puzzle !

Alors on a cherché des trucs et des astuces. L’une des plus courantes consiste à fendre 10 châtaignes à la fois et les placer 1 mn au micro-ondes. La peau, c’est vrai s’enlève facilement pour les premières. Moins évident pour les dernières qui ont eu le temps de refroidir. Entre temps, vous avez failli vous brûler les doigts !

D’autres utilisent un vieux tambour de machine à laver, mettent les châtaignes dedans et les passent au lance-flamme d’un chalumeau ! :D

D’autres encore les ébouillantent et les pèlent tout de suite. Bonjour mes jolies petites mains de pianiste !

Il y a aussi ceux qui les mettent au congélateur et les plongent ensuite dans l’eau bouillante. Il y a également les partisans de l’autocuiseur. Il y a aussi les fanas de la poêle à trous dans la cheminée. Bref rien que des trucs pour citadins quoi !

Alors comment je fais ? Quelle idée lumineuse a ébloui mon cerveau encore bien fertile ?

Ca, vous le saurez quand vous aurez été 20 000 à venir sur ce fil pour foldingues de Momo !

C’est une blague. Voilà comment j’ai fait. J’ai utilisé les propriétés magiques de mon déshydrateur ! J’ai commencé par enlever la robe de dame châtaigne sur une musique douce. Facile à tomber la robe, sous la menace d’un couteau qui coupe mais pas trop tout de même sinon gare aux doigts ! Il me restait dame châtaigne en jupon. Puisqu’elle voulait faire sa bêcheuse, je l’ai déposée délicatement sur le plateau. Mais auparavant, par sadisme, je l’ai coupée en deux dans le sens transversal pour offrir à mon déshydrateur deux faces coupées tournées vers le haut pour qu’elles prennent bien l’air.

J’ai réglé ma « clède » à 55-60° sans fumée et j’ai attendu, tel le penseur de Rodin, 12 heures !

Et le miracle s’est accompli. J’ai obtenu toutes les faveurs de ces difficiles châtaignes et le jupon s’est envolé, envolé avec une facilité déconcertante. Moralité : quand on traite dame châtaigne avec une infinie douceur, elle est consentante.

Et Momo dans tout ça ? Au bout de 12 heures j’ai pris mes drôles de dames nues et coupées en deux, bien sèches, dures comme de petits cailloux et les ai mises dans le bol. J’ai alors sorti ma puissance de feu de croiseur pour faire du sucre, pardon de la châtaigne glace !

Et j’ai obtenu une farine bien blanche à la fragrance incomparable.

Si vous n’avez pas de déshydrateur, et si vous possédez un four avec la fonction « maintien au chaud », réglez la température sur 60° et attentez 10-12 heures. Je pense que le résultat sera le même.

Enfin pour réhydrater princesse châtaigne qui faut bien le dire, après ce traitement, est morte de soif, plongez-là dans de l’eau tiède pendant 12 heures. En principe elle va retrouver ses jolies formes d’avant mais sans robe et sans jupon cette fois !

Bon Leeloo prétend que je mérite le prix Nobel, mais vous n’êtes pas obligée de la croire !

RECTIFICATIF du 20 SEPTEMBRE 2011J'avais écrit le 14 septembre :" Il me restait dame châtaigne en jupon. Puisqu’elle voulait faire sa bêcheuse, je l’ai déposée délicatement sur le plateau. Mais auparavant, par sadisme, je l’ai coupée en deux dans le sens transversal pour offrir à mon déshydrateur deux faces coupées tournées vers le haut pour qu’elles prennent bien l’air."

A la date du 20 septembre, je n'inflige plus cette torture à mes copines châtaignes. J'ôte la robe et les dépose en jupon, sans cruauté aucune, sur les plateaux ( j'ai 7 plateaux de 40 cm de diamètre) de mon déshydrateur pendant 12 h à 60°.

RAJOUT DU 28 SEPTEMBRE 2011

A propos de la conservation des châtaignes.

J'ai des châtaignes pelées au congélateur depuis 2009. Seulement je pers 40% de valeur nutritionnelle par rapport aux fruits frais. En effet, l’humidité se développe avec la congélation et fait se rompre les cellules des aliments.

Avec mes produits déshydratés, je ne perds que 4% ! C’est la chaleur basse qui le permet et la perte minimale avec le flux d’air.

C'est le service de recherche pour le département américain de l'agriculture qui l'affirme.

Les informations qui suivent m’ont été fournies par la société Wismer

- http://www.wismer.fr/ - qui m’a livré le FD1000, mon déshydrateur, par le biais de sa documentation d’utilisation.

Pour l’emballage d’abord.

Toujours laisser refroidir les produits déshydratés avant de les emballer dans des conteneurs sous vide et secs, à l’abri des insectes et d’une éventuelle reconstitution à cause de l’humidité.  La société en question commercialise des machines à emballer sous vide entre 100 et 300 euros.

Des sacs d’emballage ou des pots de verre sont idéals pour une longue durée. Personnellement c’est ce que je fais mais sans emballage sous vide. J’ai des cèpes secs depuis  plus de 2 ans. Ils sont encore très bons.

Des bocaux en verre sont utilisés la plupart du temps.

Des sachets de congélation peuvent être utilisés mais il faut s’assurer qu’il n’y a plus d’air à l’intérieur avant de fermer. Perso, j’aspire l’air du sac avec ma bouche et mes tits poumons et je ferme en faisant un nœud. Ce qui veut dire qu’il ne faut remplir le sac qu’à moitié.

Des sacs en plastique ordinaires ne sont pas assez hermétiques pour être utilisés.

Pour le stockage enfin.

A conserver de préférence dans un endroit frais, à l’abri de la lumière et de l’humidité. Pour chaque baisse de 10°C de la température de stockage, la durée de vie du produit déshydraté est multipliée par 4 !.

Le stockage idéal est au réfrigérateur ou au congélateur pour les aliments pauvres en acide tels les légumes, les viandes et le poisson.

Savoir également que la farine de châtaigne ne se conserve pas très bien. Et c’est là que notre cher Momo va nous servir. Chaque fois que nous voudrons de la farine, on prendra 10, 200, 300 g de châtaignes nues et déshydratées et on les pulvérisera avec notre ami teuton. Après un tamisage, la farine sera prête pour régaler nos papilles.

rahabmuriel a écrit:

andy

étant une carcassonnaise exilée à lille, j'ai eu le même problème pour le thym et la lavande jusqu'à ce que je trouve le site patiwizz qui propose plein d'aromes naturels (y compris la sauge) et aussi que je me penche sur les bienfaits culinaires des huiles essentielles! par défaut ca peut aider!!par exemple hier j'ai fait grâce à momix un cake à l'orange mais faute d'oranges j'ai mis de lhuile essentielle (15 gouttes) d'oranges et mon homme (tu sais bien le difficile qui ne fait pas confiance au deshydrateur!) n'y a vu que du feu eyt il en même repris 2 parts

C'est pas bien de tromper son mari !

Quand je cuisine, je ne cuisine pas spécialement en fonction de Momo mais plutôt en fonction d’exigences de santé et de qualité. Par exemple, je ne vais pas faire un St-Genix tous les jours dont chacune des 8 parts contient près de 400 kCal ! J’essaie de limiter le sucre, les huiles cuites de friture ou encore les féculents. Ca c’est surtout pour Leeloo.

Hier je me suis trouvé avec un rôti de porc que j’ai cuisiné sans Momo. Je l’ai sorti la veille du congélateur. D’abord, je lui ai troué la panse en différents endroits pour lui mettre des suppositoires à l’ail. J’adore l’ail et pour la santé c’est un trésor de bienfaits comme ils disent. Un vrai martyr mon Saint-Sébastien de rôti. Ensuite je l’ai massé pour soulager ses douleurs avec de l’huile d’olive sous toutes ses faces et saupoudré de sauge. La sauge ! Parfois impossible à trouver même dans les supermarchés les plus réputés ! Faut dire qu’avec la mode du « hallal » - j'ai dit : hallal pas à l'ail ! - , on a du mal à trouver ce qui rend la viande de porc si savoureuse. Pour tout dire, la bête n’est pas en odeur de sainteté par chez nous, si j’ose ainsi m’exprimer. Tout juste si, en Seine Saint-Denis, les braves gens ne froncent pas les sourcils quand vous passez à la caisse avec votre rôtI ou si les agents entre les rayons ne vous regardent pas d'un air hébété lorsque vous leur posez la question de l'existence de cette plante aromatique. Va comprendre Charles ! Même Ducros est aux abonnés absents.

Mais ces feuilles au parfum si reconnaissable, délicieuses avec ce type de viande, j’en trouve désormais à la Croix Verte , vers Viarmes, dans le Val d’Oise. Au retour je les  sèche et les  mets dans un pot en verre fermé hermétiquement et le tour est joué.

Pour finir je mets le rôti impie dans un plat, avec environ ½ l d’eau et au four pour 1h30 de chauffe à 200°. Avec contrôle à la brochette vers la fin pour être sûr que la viande est bien cuite. Le porc se mange bien cuit.

Avec quel légume pour accompagner ? Comme j’avais consommé beaucoup de tomates, aubergines, courgettes et poivrons dans la semaine, j’eus l’idée d’utiliser une boîte de salsifis. A priori plutôt bon comme légume. Mais j’ai voulu changer la recette de base qui consiste à le faire revenir une dizaine de minutes dans du beurre. Direction Bing/google sur mon PC. Je saisis « recette salsifis » et je tombe sur un gratin de salsifis. Qui dit gratin, dit presque à coup sûr, béchamel. Avant, je n’aurais même pas essayé d’en faire une compte-tenu du temps pour la faire et du temps pour laver les ustensiles nécessaires. Mais avec mon copain teuton, pas de soucis. en quelques minutes la sauce était prête. La recette recommandait de saupoudrer le gratin de fromage râpé. Et là, miracle, il me restait un morceau de 50 g de Beaufort des vacances devenu dur comme du bois, que Momo, à la façon du parmesan, eut tôt fait de réduire en poussière ! Dites-moi comment j’aurais pu faire sans mon copain allemand , sans ce Momo d’enfer, toujours prêt à rendre service, au moment où les techniques culinaires habituelles deviennent inopérantes ?;)

Leelo s’est régalée. En dessert, elle a savouré un yaourt aux fruits secs et au sucre à la cannelle fabriqué la veille, en quelques minutes avec Momo.

Le soir, il restait du velouté aux tomates de la veille que j’avais réalisé rapido avec mon compagnon de jeux culinaires. Et pour le dessert, ma compagne préférée me darda son regard d’océan lumineux comme une étoile et me demanda langoureusement : « j’aimerais bien un sorbet d’abricots ».

Je m’exécutai rapidement.

D’abord, comme vous savez, 60 g de sucre dans le bol et passage dans la galerie du sucre glace. Et blanc d'oeuf bien sûr.

Ensuite ouverture du congélateur où je  récupérai 500 g d'abricots mis à plat et les versai dans le bol. Certaines moitiés d’abricots restaient collées à d’autres : je ne cherchai même pas à les séparer. Quelques coups d’accélérateurs rageurs avec le turbo, pour mater les morceau d’abricots récalcitrants. Puis vitesse 9 pendant 1 minute.

Le sorbet était prêt. Leeloo était ravie et avait consommé un dessert savoureux, avec très peu de calories et pour un coût à désespérer D… et ses semblables.

Voilà donc simplement ma vie avec Momo. Après la frénésie des débuts, Momo entre de façon naturelle dans les choix culinaires que je décide. Et c’est là qu’il est vraiment hors du commun. Il va toujours là où ça fait mal pour les autres robots et nous-mêmes. Disponible, pratique, intelligent, fiable et si rapide à nettoyer.

solmar a écrit:

Bonjour à tous et toutes

Un petit coucou de Cavalaire où le temps est toujours aussi beau !! Pas d'aventures culinaires à vous raconter: les repas c'ets soit resto soit vite fait bien fait !!

J'ai enfin trouvé ici des pralines roses pour pouvoir essayer la fameuses St genix à mon retour !

Hier j'ai télécharger la nouvelle application Iphone "thermomix" c'est un peu cher ils éxagerent un peu chez Vorwerk !! enfin quand on aime ................!!!

Et on vous souhaite de bonnes vacances. Quant au saint-genix, il semble faire des heureux. Une momixienne l'a trouvé excellentissime !:p

guilou38 a écrit:

Je me joins à vous.

Quelle bonheur ce forum où l'on peut échanger nos expériences. A vouloir essayer le maximum de recettes il ne reste plus beaucoup de temps à Momo pour se reposer. A ce train là,  il va nous en falloir 2 sur le plan de travail.

Petite question, quelle quantité de sucre pour la recette de yaourts

Bonne soirée

Une petite question Andyw, il faut comter quelle quantité de sucre pour 1 litre de lait (yaourt) 

Bienvenue au club ! Ca fait plaisir à tous de vous voir parmi nous et de partager nos foldingueries !

Quantité de sucre dans les yaourts ? Je n'en mets pas directement mais, pour un litre de préparation,  par l'intermédiaire de sucre vanillé (2 à 3 cs) ou de sucre à la canelle (2 cs) ou bien 2 à 3 cs de miel de Chartreuse  ou encore de confiture (3 ou 4 cs) !  Mais lisez bien le fil et vous verrez que chacun adapte cette façon de faire les yaourts à ses goûts personnels. Bonne nuit ! Je vais dormir à présent, chui naze !:)

Muriel34 a écrit:

Et pourtant Marianne sur le sachet d' Agar Agar c'est bien écrit "Délayer l'agar agar dans un liquide froid et porter à ébulition votre préparation ! La gélification s'opère au refroidissement, plus de renseignements sur : www.nature-aliments.com, on peut d'ailleurs l'acheter ainsi que la présure, les ferments... Tout est bio. Bon avec tout ces  bons conseils si Lableue rate encore ses yaourts il va falloir partir en formation chez notre maître Andy ! Allez bonne soirée, c'était une blague....

Je m'occuperai d'elle avec plaisir !:D